« Comment tu t’appelles ?
– ‘Nu aux cheveux violets’, je suis une toile de George Condo. Tu connais sûrement mon auteur, il a peint pour les disques de Kayne West.
– Ah. C’est bizarre. – Quoi ?
– Ce sont pas les cheveux violets qui m’ont frappé en te voyant.
– Quoi alors ?
– Ton menton surdimensionné, peut-être ?
– Ah, ça ! C’est mon réalisme artificiel.
– Quoi ? – C’est comme ça que George parle de son art. Ses tableaux, comme moi, représentent avec beaucoup de réalisme des personnages dont des caractéristiques ont été artificiellement déformées.
– Mais pour quoi ?
– Pour représenter la folie de l’âme des humains ! »
– Ah. C’est bizarre. – Quoi ?
– Ce sont pas les cheveux violets qui m’ont frappé en te voyant.
– Quoi alors ?
– Ton menton surdimensionné, peut-être ?
– Ah, ça ! C’est mon réalisme artificiel.
– Quoi ? – C’est comme ça que George parle de son art. Ses tableaux, comme moi, représentent avec beaucoup de réalisme des personnages dont des caractéristiques ont été artificiellement déformées.
– Mais pour quoi ?
– Pour représenter la folie de l’âme des humains ! »
— « Nude with purple hair » de George Condo, représenté par la galerie Skarstedt à la Fiac
via Instagram http://ift.tt/2yGqNtI
