« Qui sont les deux personnages que tu représentes ?
– Trois.
– Trois ?
– Et le piano ? Tu oublies le piano ? Il est un de mes personnages à part entière. Regarde comme il me structure, comme ma séparation en deux parties lumineuses se fait à son niveau.
– C’est vrai, je n’avais pas remarqué.
– Pour te dire à quel point le piano est important sur moi, je ne me suis pas toujours appelé « Le Duo ». Quand Georges Braque m’a peint, il m’avait appelé « La musique », simplement.
– Pourquoi ? – Il s’était rendu compte à quel point la peinture et la musique sont liées, après avoir longtemps travaillé sur l’antiquité grecque et sur les muses.
– Alors ces deux femmes, ce sont elles, des muses ?
– Ce n’est pas impossible ».
– Trois.
– Trois ?
– Et le piano ? Tu oublies le piano ? Il est un de mes personnages à part entière. Regarde comme il me structure, comme ma séparation en deux parties lumineuses se fait à son niveau.
– C’est vrai, je n’avais pas remarqué.
– Pour te dire à quel point le piano est important sur moi, je ne me suis pas toujours appelé « Le Duo ». Quand Georges Braque m’a peint, il m’avait appelé « La musique », simplement.
– Pourquoi ? – Il s’était rendu compte à quel point la peinture et la musique sont liées, après avoir longtemps travaillé sur l’antiquité grecque et sur les muses.
– Alors ces deux femmes, ce sont elles, des muses ?
– Ce n’est pas impossible ».
— « Le duo » de Georges Braque, au Musée Maillol à Paris, dans l’expo « 21, rue la Boetie »
